Les principales règles du jeu de hockey sur glace à connaitre pour être en mesure de bien parier sur ce sport

Très populaire en Amérique du Nord (USA et Canada) avec la célèbre ligue NHL, le hockey sur glace est plus confidentiel en Europe. Si le championnat français (Ligue Magnus) a du mal à trouver un public dans l’hexagone, certains championnats nordiques sont néanmoins réputés auprès des parieurs, comme celui de Russie, le meilleur d’Europe (KHL ou Ligue continentale de hockey), ceux des pays scandinaves (SHL pour Svenska Hockeyligan en Suède et SM-liiga en Finlande), celui de la National League A chez notre voisin helvète ou encore l’ÖEL pour l’Österreichische Eishockey-Liga en Autriche. Par contre, nous vous déconseillons de parier sur ces ligues ou championnats sans avoir pris connaissance des règles applicables à ce sport, règles qui sont édictées par la NHL pour l’Amérique du Nord et, pour le reste du monde,  par l’IIHF, la Fédération internationale de hockey sur glace. Voyons quelles sont les règles minimales à connaitre avant de se lancer dans un pari simple ‘1 2’, ou sur un  ‘Nombre de buts dans le match’, ou encore un  ‘Score exact à la 65e minute – tirs aux buts inclus’ ?

Rappel sur la pratique ‘musclée’ du jeu de hockey sur glace

Le hockey sur glace se pratique sur une patinoire sur laquelle évolue en patins à glace 6 joueurs par équipes (5 joueurs de champs et un gardien). Le jeu consiste à marquer des buts avec un palet (petit disque en caoutchouc) en maniant celui-ci grâce à une crosse de hockey. Un match est découpé en 3 périodes de 20 minutes, le temps réglementaire total étant donc de 1h.

C’est un des sports collectifs les plus rapides de la planète, présentant des phases parfois violentes avec les fameuses mises en échec. L’équipement du joueur de hockey a évolué au cours du temps pour protéger au mieux les protagonistes (casque avec jugulaire, grille intégrale ou visière, gants, culotte rembourrée, coudières, épaulières, plastron, jambières, coquilles,…).

Nul doute qu’un tel accoutrement associé à des engagements plutôt musclés a contribué à rendre ce sport si populaire chez les jeunes sportifs et parieurs nord-américains !

Les ‘nombreux’ acteurs d’un match de hockey sur glace

Selon le règlement de l’IIHF un maximum de 22 joueurs sont autorisés à jouer lors d’un match international, alors que la NHL nord-américaine limite ce nombre à 20 joueurs seulement ( 18 joueurs de champ et 2 gardiens). Dans les 2 cas, cette profondeur de banc est impressionnante puisque, à un instant donné, il ne peut y avoir que 6 joueurs sur la glace: le gardien de but, 2 défenseurs et 3 attaquants (2 ailiers et 1 centre).

Le rôle du coach est donc décisif car il a la liberté de faire rentrer ou sortir qui il veut et quand il veut, sa seule restriction étant de ne pas faire intervenir ses 2 gardiens simultanément.

A noter que, contrairement au foot, le gardien sur le terrain  ne peut pas endosser le brassard de capitaine.

En dehors des joueurs on trouve les inévitables arbitres qui sont, eux aussi, en nombre impressionnant, vu la faible taille de la patinoire (entre 56 et 61 m de long seulement pour les compétitions internationales).

C’est ainsi que l’on peut rencontrer jusqu’à 4 juges sur la patinoire (2 juges de lignes et de 1 à 2 juges principaux), auxquels viennent s’ajouter 2 juges de buts qui prennent place derrière les glaces de protection, 1 chronométreur, 1 annonceur, 1 responsable de la feuille de match, 2 responsables des bancs de pénalité, sans oublier le juge vidéo derrière son écran. Total : 12 juges … pour 12 joueurs sur la glace : autant de juges que de joueurs !

A noter que les juges de ligne sont les plus actifs sur la glace car ils réalisent les engagements et signalent hors-jeu et dégagements interdits .

Principales  règles lors du déroulement ‘high speed’ d’une partie de hockey sur glace

Tout va très vite lors d’un match de hockey et si vous êtes plutôt fan du jeu de pétanque, passez votre chemin, …ou alors contentez-vous de parier avant match !

Dès que l’arbitre a jeté le palet sur la glace, celui-ci fuse à toute vitesse, les passes entre joueurs pouvant être réalisées dans n’importe quel sens. Pour passer la rondelle (un autre nom donné au palet) entre coéquipiers, des coups de crosse ou des coups de patin sont autorisés, mais pas le gant qui ne peut servir qu’à arrêter le projectile et qui n’a pas le droit de le saisir, sous peine de pénalité.

Les pénalités justement, parlons-en : elles sont très nombreuses au hockey sur glace, en particulier celles liées au icing (dégagement interdit), au hors-jeu (au hockey le palet doit être entièrement situé dans la zone d’attaque avant tout joueur de l’équipe qui est à l’offensive) et aux inévitables fautes de comportement vu la nature  très physique des engagements.

A noter que le contact est autorisé au hockey et a pour but de déstabiliser l’adversaire en lui faisant perdre le contrôle du palet. Mais la nature de ce contact, appelé ‘mise en échec’ est codifiée par un règlement bien précis qui prévoit de nombreuses pénalités ou punitions en cas d’actions dangereuses.

Pour qu’un but soit déclaré valable, il faut que le palet franchisse entièrement la ligne de but adverse entre les 2 poteaux. En cas de litige, la vidéo vient aider à l’arbitrage. Mais là aussi, il existe un grand nombre de cas ou l’arbitre peut refuser un but : palet poussé volontairement du patin par un attaquant, joueur présent dans la zone de but du gardien,…Bref, on comprend mieux pourquoi il faut autant de juges que de joueurs au hockey !

Le penalty au hockey porte le nom cocasse de ‘tir de fusillade’. Le cas le plus fréquent consiste à sanctionner une faute par derrière sur un attaquant qui fait seul face au gardien.

Lors de ce tir de pénalité, tous les joueurs rejoignent leurs bancs à l’exception du tireur et du gardien adverse qui se font face. L’engagement a lieu sur le point central de la patinoire et la gardien peut commencer à se déplacer dès que le palet est en jeu. Un seul tir est autorisé et la ‘fusillade’ s’arrête lorsque le palet a franchi la ligne de but.

Les 3 périodes de 20 minutes sont très denses et les 2 pauses de 20 minutes (en international) ou de 18 minutes (en NHL) sont tout juste nécessaires aux joueurs pour reprendre souffle et aux surfaceuses pour lisser la glace.

A la fin de l’heure réglementaire et selon les championnats, des prolongations en mort subite peuvent être engagées, suivies si besoin de tirs de fusillade.

C’est ainsi que pour la saison régulière en NHL, la prolongation est de 5 mn en mort subite. En cas d’égalité à l’issu de cette prolongation, un séance de tirs de fusillade détermine le vainqueur.

Nous espérons que ce petit rappel de quelques règles principales du jeu de hockey sur glace vous permettra de parier en toute connaissance de cause sur ce sport si attachant, particulièrement si vous êtes un adepte des paris en direct. En effet, tout juste après le championnat de NBA en basket, nous considérons à ParierSurTout.com que la ligue nord-américaine NHL en hockey est la plus intéressante du point de vue du parieur.

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